Nous arrivons à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle.
L’enregistrement s’effectue dans des conditions normales malgré
un léger retard de 20 minutes et la suppression d’une des trois
files d’attente prévues initialement au grand dam des voyageurs.
13h40.
C’est le départ pour Dakar via Nantes. Un retard de près de 2
heures au décollage de PARIS préfigure ce que sera notre périple
sénégalais. Surtout, s’armer de patience !
Après
avoir survolé l’Aquitaine, la Galice, Madrid, l’Andalousie, le
rocher de Gibraltar, le Sahara Oriental, la Mauriranie, notre avion,
dont le logo est une grenouille souriante, se pose enfin sur
l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar. Il est 18h40 heure
locale. Le voyage s’est plutôt bien déroulé même si un voisin
un peu trop anxieux dans les avions n’a rien trouvé de mieux,
comme remède à sa phobie, que d’ingurgiter 50 cl de
whiskey !
Après
les formalités d’arrivée sur le territoire sénégalais, nous
sirotons notre première flag (bière locale). Le temps de se
débarrasser des multiples pseudo-représentants du Ministère de
l’Information qui nous proposent toutes sortes de services, nous
trouvons un taxi qui nous amène à notre hôtel, le Continental,
non sans avoir négocié ardemment le tarif de la course.
Repas
léger, promenade aux alentours de l’hôtel et de la Place de l’Indépendance,
puis repos bien mérité
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