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 16 août 2002
             Réveil à 8h00. Le temps de prendre un bon petit déjeuner, d’effectuer quelques courses, et déjà il faut penser à notre prochaine expédition qui nous amène à Saint-Louis du Sénégal, 265 km au Nord du pays, à la frontière de la Mauritanie.

             C’est de la gare routière, Les Pompiers, que commence notre long trajet. Les négociations vont bon train, nous commençons à être rodés, et nous trouvons enfin un terrain d’entente. Mon acolyte se place sur la banquette arrière, côté gauche, alors que je rejoins le milieu de la banquette centrale. Mes 2 voisins échangent leur place. La jeune fille ne voulant pas « se brûler », côté soleil, le vieillard accepte l’échange. Il manque cependant un dernier voyageur qui sera finalement trouvé 45 bonnes minutes plus tard.
            Il est 12h10 quand nous entamons notre route qui devrait durer près de 4 heures afin de rallier St-Louis. Tivaouane est en vue lorsque le taxi stoppe soudain sur le bord de la route. Le véhicule n’est pas encore arrêté que des jeunes filles s’engouffrent dans le taxi pour vendre leurs fruits (mangues, bananes, …). Nous sommes désormais au moins 11 passagers dans le taxi 7 places.  15 minutes s’écoulent et nous reprenons notre chemin.

            Saint-Louis sera atteint à 16h00. Le taxi nous laisse devant le pont Faidherbe pont construit par G. Eifel et livré par erreur au Sénégal alors qu’il était destiné à enjamber le Danube en Autriche-Hongrie ! Nous franchissons à pied les 500 mètres de pont, parcourons encore 600 mètres vers le Nord pour atteindre le gîte « la Louisiane ». Après une gazelle vite avalée et bien méritée, nous contactons le Syndicat d’initiative pour organiser, ce dimanche, une visite du parc national de la Langue de Barbarie.

Il est 18h00. Un match de football se déroule non loin du gîte, au stade de l’île. Le Cosmos affronte une autre équipe locale. Les Saint-louisiens sont très accueillants et nous ne sommes jamais harcelés.

20h00. Apéritif au « Blue Notes », bar jazz très sympa, puis repas au restaurant « la linguère » qui ressemblerait plus, au premier abord, à une cantine. Malgré tout, le poulet yassa y est très bon et le bissap parfumé à la menthe pas trop sucré. Les tarifs sont de surcroît bon marché.

             23h00. Nous repartons nous coucher car la journée de demain sera bien remplie.

 

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