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12
août 2002
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8h30. Réveil différé. Déjà, Pascal, notre pseudo-guide de la
veille, nous attend pour la visite en calèche du plus grand baobab
du Sénégal, situé à une dizaine de kilomètres. |

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10h00.
Départ pour l’expédition avec un âne bien trop têtu au goût
de tous d’autant que le guide n’a pas beaucoup de talents de
conducteur.
Les
plantations de mil, d’arachides, les rizières et autres baobabs,
manguiers et palmiers rhôniers défilent sous nos yeux dans cette
traversée du Saloum. |
11h45. Enfin, nous arrivons sur le site du baobab sacré. 31 mètres
de circonférence et âgé de plus de 850 ans, l’arbre se dresse
face à nous. Un guide local, Philippe, nous en fait la présentation.
Nous entrons même à l’intérieur de l’arbre qui, chez les Sérères
servait de tombeau aux griots car ceux-ci ne méritaient pas d’être
enterrés dans un cimetière alors qu’ils refusaient de travailler
la terre… |

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A notre retour, nous empruntons la piste de latérite Joal-Palmarin,
sous une chaleur torride et nous progressons de plus en plus
lentement. Nous croisons des nomades peuhls avec leur bétail de 200
à 300 têtes ainsi que des cultivateurs labourant la terre, aidés
par leurs chevaux. |
15h15.
Nous arrivons enfin à Fadiouth et descendons une Gazelle avec
Pascal. En traversant le pont reliant Joal à Fadiouth, trois jeunes
filles nous accostent. Elles sont à la recherche de correspondants
français âgés de 15 à 20 ans.
Le
repas du soir consiste en un couscous marocain viande avec sauce palétuviers.
La viande est aux abonnés absente ! Gilbert, le gérant, me révèle
que cela est dû à la cuisinière qui est un peu trop nerveuse car
les clients sont nombreux et il m’apporte un peu de viande. L’émincé
de poulet au citron de mon compagnon de voyage se transforme quant
à lui en yassa de poulet !
21h45.
Une souris s’est invitée dans notre chambre. Nous nous mettrons
à quatre pour l’en déloger.
La nuit sera plus calme…
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